Chronique à venir.
Présentation de l'éditeur :
Des jumeaux se partagent la même vie, la même identité. Enceinte après un viol et traumatisée par cette expérience, leur mère s’est enfermée chez elle. Là, elle a accouché de ses deux fils. Mais elle n’a déclaré qu’un seul enfant à l’état civil. Ils ont toujours vécu à tour de rôle, un jour sur deux. Le traumatisme et la phobie sociale de leur génitrice a poussé les garçons à s’interroger sur leur étrange destin. Ils se sont trouvé un but : la vengeance. Cinq hommes ont violé leur mère. L’un d’eux est leur père.Plus de trente ans après leur naissance, les frères passent à l’acte : ils retrouvent la trace du premier de ces hommes, l’observent, s’immiscent dans sa vie – et le tuent.Quand l’histoire commence, les frères assassinent le deuxième homme.L’identité commune des frères : « Jérôme Fansten ». Scénariste et romancier français, d’après sa fiche Wikipédia. Les frères l’appellent « l’entité ».Chaque fois que l’un des frères tue, l’autre se montre en public. Ils ne sont officiellement qu’une seule et même personne : l’entité « Jérôme Fansten ». Et l’entité a toujours un alibi en acier blindé.C’est donc l’histoire d’une vengeance.C’est aussi une histoire d’amour, puisque l’un des frères tombe amoureux d’une femme qu’il refuse de partager.C’est, enfin, une quête de la vérité, puisque l’enquête de police qui accompagne les deux premiers assassinats révèle des incohérences dans l’histoire même de la mère…« Le mensonge… C’est peut-être pour ça que je suis devenu scénariste ? En tout cas, c’est à cause du mensonge que je suis devenu un assassin.
Je ne suis pas “écrivain”. Non, ma raison sociale, c’est “scénariste”. Et c’est ce qu’on appelle une “couverture”.
Et le bouquin que vous tenez entre les mains… Appelons ça une confession.
Pour faire l’article, je dirais que vous y trouverez à la fois des astuces pour vous mettre à écrire, et liquider vos ennemis sans vous faire prendre.
C’est un bréviaire d’assassin autant qu’un manuel de dramaturgie.
C’est surtout l’histoire de ma vie et je m’en excuse d’avance.
»Frédéric Fontès, www.4decouv.com