Il y aurait un troisième complice.
Dans les courts films amateurs, on pouvait les entendre crier "Allah est grand", "on a tué Charlie Hebdo."
Ils avaient faux, deux fois.
Leur foi est niée par de tels actes. Et Charlie Hebdo n'est pas mort.
Près de 40.000 personnes, anonymes, se sont réunies à Paris, plus de 100.000 partout en France. Une démonstration populaire, pour démentir la menace, récuser l'injonction terroriste. Il y a eu rapidement ce visuel, sobre, sur fond noir : “Je suis Charlie”
Ils voulaient mettre la France à genoux, ils l'ont mise debout. #JeSuisCharlie pic.twitter.com/Gv4A0NTtyh"Le combat va être long et difficile. Il ne faut pas se tromper d'adversaire". Alain Juppé a eut des mots justes, en rappelant qu'il fallait éviter l'amalgame. Tous les messages publics, sauf quelques minoritaires enragés, allaient dans le même sens, jusqu'à François Hollande, à midi, puis à nouveau le soir, à 20 heures à la télévision. La démocratie est belle quand elle rassemble des gens très différents, très opposants, dans ces moments dramatiques qui sauvent une nation.
— Spi0n (@Spi0n) January 7, 2015
Ces assassins ont raté Charlie Hebdo.
pic.twitter.com/xH29zS8RMML'esprit du journal n'est pas mort.
— Putaghjone (@Putaghjone) January 7, 2015
Ils ont raté Charlie Hebdo.