Bon, les gros enfoirés de barbus islamisés à mort ont frappé... encore. Etais pas un grand fan de Charlie Hebdo mais moi aussi ce soir je suis Charlie.
De la difficulté pour un pays rempli de citoyens civilisés - lire ayant perdu le goût du sang - de faire face à ceux qui trouvent la justification de leur existence dans le goût du sang retrouvé.
Un petit pour la route :