Paris, France, 22 juin 2011
Cabu, je ne t’oublie pas.
Merci pour ton boulot, merci pour ton trait de crayon, merci pour ta gnaque et merci pour ta simplicité.
Cabu, croisé un jour le temps d’une rencontre aux côtés d’un autre géant, Plantu. Le temps de quelques sentiments croisés, des anecdotes de travail, des questions sur la limite entre journalisme et art, entre caricature et information…
Toi, Cabu, tu savais les franchir les limites. A répétition. Et à raison, bien sûr. T’étais un grand, un comme on en fait peu. Merci Cabu.