Tarte à la crème des débuts d’année, ou vrai questionnement, comment changer de vie est un thème récurrent.
Or connaissez-vous une seule personne qui y soit parvenu ? Moi non.
Certes, des tas de gens cherchent à se reconvertir, changer de métier ou changer de travail : ils veulent modifier leur situation ou partir vivre à Sydney (quand l’habitant de Sydney rêve d’habiter Paris).
Mais le peuvent-ils vraiment ?
En aucun cas.
Car vous n’avez qu’une vie, un grand livre personnel dans lequel chaque évènement est une nouvelle page. D’ailleurs ne dit-on pas « tourner la page » ?
Si vous passez d’un poste de cadre à celui de PDG de votre propre société ou si vous troquez vos habits de coach pour ceux d’exploitant dans le Larzac, vous n’avez quand même qu’une vie. Dès lors…
Pour vraiment changer de vie mieux vaut changer… d’habitudes de vie.
Quelques exemples :
Voici une courte vidéo, première d’une série vous offrant régulièrement des acquis, des solutions au fondement solide, mais simples, facilement mémorisables et exprimées en quelques secondes.
Ci-dessous sa transcription car le son n’est pas top (le vent du large s’entend !) : il va y être remédié.
Bonjour, Acquis n°1 pour bien vivre en 2015 : Ne vous plaignez pas !
Pourquoi ? Parce que votre capacité à agir est amputée et en plus vous regardez la situation sans l’objectivité nécessaire. Ne vous plaignez pas car vous lamenter, vous plaindre, c’est comme un cautère sur une jambe de bois, un sparadrap sur une plaie, ça soulage un instant. Mais ça ne règle rien.
Agissez là où vous avez une marge de manœuvre, et vous verrez, les choses vont changer.
A très vite pour l’acquis n°2.
De salarié à chef d’entreprise, de la multinationale à la PME, de la vente à l’hôtellerie puis aux nouveaux métiers de l’internet, d’une situation désespérée à une situation enviée, du quatrième sous-sol jusqu’au haut de l’affiche, la vie m’a permis de devenir un spécialiste du changement, de la motivation et du « rebondir ».
Je pourrais en écrire des livres, les lecteurs de Craquer ou pas ? L’incroyable histoire vraie qui améliore la vôtre en savent quelque chose…
Je prépare donc une conférence pour les particuliers sur comment rebondir et croyez-moi… j’ai tellement de choses à transmettre qu’il y en aura peut-être plusieurs, y compris à destination des entreprises.
Vous en saurez plus prochainement et suis ouvert à vos suggestions.
Démarquez vous de ces Français plus pessimistes que jamais (Sondage Ifop pour Ouest France) et plus généralement de tous les catastrophistes.
Non qu’il faille jouer les ravis de la crèche, loin de là, mais parce que s’impose une donnée fondamentale : pessimisme et optimisme sont deux illusions.
Or, laquelle est la plus porteuse ? Laquelle permet de vivre plus sereinement au quotidien ?
Poser la question c’est y répondre.
Sortez donc du lot pour mieux entrer dans l’eau.
Changer de vie, c’est oser faire ce que vous ne faisiez pas jusqu’ici.
Un bain, un 31 décembre, dans une eau à 8,5 degrés vous tente ?
Bof ?
Vous pensez qu’il faut être givré (ou Canadien) pour faire ça ?
La majorité le pense aussi.
Échauffement sur le sable givré avant l’immersion dans le grand bain glacé.
C’est chaud !
Mais, au bureau comme à domicile, vous êtes ce que vous pensez.
Si donc vous modifiez votre façon de raisonner, s’ouvriront à vous bien des espoirs et bien des portes.
Il me fallait d’habitude plus d’un quart d’heure pour entrer dans une eau à 18 degrés.
Ce 31 décembre, après échauffement, seules quelque secondes ont suffi pour courir vers la mer et m’y étaler de tout mon long dans cette eau à 8,5 degrés.
Rien d’extraordinaire, juste l’immense pouvoir du mental.
Apprendre à repousser vos limites, constitue le meilleur des changements de vie, bien plus efficace que de chercher le salut en voulant partir exercer au Burundi ou à Lamotte-Beuvron.
Après l’effort, le réconfort : où sont mes vêtements ?
Résultat ?
Un super bon moment, au milieu de tous les spectateurs emmitouflés du haut en bas, qui grelotaient bien plus que les baigneurs.
Pour changer de vie en profondeur, et avant de tout chambouler (pour souvent le regretter), revoyez d’abord votre perception :
- des situations.
- des gens.
- de vous-même.
Je vous souhaite une belle et heureuse année 2015.
Ce ne sont pas les circonstances qui font votre bonheur mais votre manière de les interpréter.
Merci pour vos suggestions et commentaires
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