Faut-il le dire? Le Quinconce est mieux qu'une heureuse surprise. C'est une découverte dont la traduction mériterait bien d'être élevée, parmi les romans les plus ambitieux qui nous arrivent de l'étranger, dans le cercle des meilleurs. Charles Palliser n'a pas que de l'ambition, il possède les moyens nécessaires à celle-ci, et il le prouve. Il faut saisir ces volumes, ces cinq tomes, et les lire comme un feuilleton. On verra ensuite comment leur autre dimension, plus intellectuelle, apparaît au lecteur attentif...
Faut-il le dire? Le Quinconce est mieux qu'une heureuse surprise. C'est une découverte dont la traduction mériterait bien d'être élevée, parmi les romans les plus ambitieux qui nous arrivent de l'étranger, dans le cercle des meilleurs. Charles Palliser n'a pas que de l'ambition, il possède les moyens nécessaires à celle-ci, et il le prouve. Il faut saisir ces volumes, ces cinq tomes, et les lire comme un feuilleton. On verra ensuite comment leur autre dimension, plus intellectuelle, apparaît au lecteur attentif...