Pas trop poqué(e) d'hier au soir?
Quiconque clique sur les mots "J'ai vu" en haut à gauche, voit bien que je consomme beaucoup de films.
2015 ne sera pas plus raisonnable car je veux jeter un oeil sur tout ça:
Birdman d'Alejandro Inarritu. D'abord le réalisateur d'origine Mexicaine me déçoit rarement et Micheal Keaton semble y offrir la performance de sa vie.
Mommy de Xavier Dolan. Je vous en ai parlé hier.
(By the way, y a-t-il une loi interdisant les titres de plus d'un mot?)
Whiplash de Damien Chazelle ou l'histoire du génie qui aurait un prix. J.K. Simmons est un grand acteur et Melissa Benoist est sensationnellement jolie.
Big Eyes de Tim Burton. J'aime Burton. J'aime encore plus Amy Adams, depuis toujours, depuis Junebug. Ici on raconte l'histoire de la peintre Margaret Keane et de son mari qui s'appropriait son talent dans les années 50.
Foxcatcher de Bennett Miller. Je suis un fan de Steve Carell et ici il est transformé à la Zellwegger. Fascinant.
Inherent Vice de Paul Thomas Anderson. je vous en ai assez parlé.
The Imitation Game de Morten Tyldum. Film archi nerd (oui) sur celui qui a déchiffré les codes de communication entre Allemands pendant la Seconde Guerre Mondiale et qui a en été un élément-clé du succès de la victoire qui en suivra en 1945.
Unbroken d'Angelina Jolie. Pour l'histoire vraie écrite par les frère Coen (!)
Wild de Jean-Marc Vallée. Parce que l'abandon est si près de la quête parfois. Histoire aussi vraie que l'était Dallas Buyer's Club.
Citizenfour de Laura Poitras. Ou Edward Snowden n'est pas l'ennemi #1 de l'Amérique.
Only Lovers Left Alive de Jim Jarmush. Une partie de mon univers révélée.
The Lunchbox de Ritesh Batra. Solitude en amour en Inde. Intéressant.
The Theory of Everything de James Marsh, Ou l'histoire de Stephen Hawking dont je doute la femme aussi exceptionnellement jolie.
20 000 Days on Earth de Jane Pollard & Iain Forsyth. J'adore Nick Cave alors comment éviter ceci?
Eisenstein in Guanajuato de Peter Greenaway qui raconte le grand réalisateur Russe au Mexique dans les années 30.
Knights of Cups de Terence Malick. Je suis très fan de Malick, pas pire fan de Bale et grand fan de Blanchett. Malick est dans une classe à part.
Certains se font des listes de résolutions, je me tricote des listes de consommation culturelles.
Chacun ses bagatelles.
Bonne année à tous!