Wouah… splish splash … putain quel pied ! Regent’s Canal et plouf, la joy est inside toi.
Je l’ai trouvé, le paradis des runners londoniens, je l’ai retrouvé le plaisir de courir gratos, cet eden disparu depuis… depuis… bien avant le marathon de Berlin 2014.
Du fun. De l’extase endorphinique. Pour un peu j’aurais joui là, en plein air, comme ça, devant les cygnes, les canards et les péniches.
Je vous jure, c’était comme dans un rêve, une quiétude absolue au coeur de Londres, le calme, la sérénité, l’eau qui serpente et les bâtiments. Une merveille. Les rénovés style loft, les lofts style rénové, de la briquette, des tags, des écluses, des zones ferrailleuses comme abandonnées… Le paradis du flaneur en goguette et du coureur à la recherche du temps perdu.
Pour ma peine, euphorique, je me suis lâché, parti avec un Ugo que les heure de muscu rendent pour le moment inapte à tout effort en endurance, même en mode cool, je me suis fait une ligne de coke, un 5000m à mon taquet du moment, avec les cuisses qui brûlent, le lactique qui ravage l’esprit et les poumons qui brûlent. Le tout sous un froid soleil d’hiver. De la joie gratuite comme on ne m’en vendra jamais.
Le site (clic) « runnersguidetolondon » te donne tous les détails et même plus de cet incontournable londonien. Au final si tu prépares un marathon tu peux t’en mettre pour 30 bornes aller-retour depuis Limehouse basin jusqu’à Little Venice.