Enfoncer des portes ouvertes ? Facile. C'est toujours rigolo de dépiauter des auto-glorifications médiatiques endogènes. Et puis, on ne va pas cracher sur nos 10 ans et le Top 50. D'accord, NRJ sent le confiné avec ses trois chansons qui passent en boucle toute l'année et ses twittos à la Pokora avec leurs millions de followers lobotomisés. Un peu comme une secte aux officiants rutilants de vacuité célébrant leur vide cérébral (et auditif) sous forme de vénération d'icônes fluos. On ne va pas gausser sur cet écosystème prépubère, ce serait trop simple. La proie est trop facile à dégommer.
N'empêche, c'est rigolo...