Et dire que nous avons failli ne jamais décoller de San Francisco... Partis à 8h30 de Sacramento, nous ne sommes arrivés qu'à 11h20 aux guichets de Delta pour enregistrer nos bagages et décoller à midi pile, la faute au trafic et à la lenteur de nos déplacements (2 personnes + 2 valises + 2 sacs à dos + 1 bébé + 1 siège auto = déménagement ambulant).
Alors que nous présentons nos passeports, l'employée de Delta grimace et annonce qu'elle trouve bien notre enregistrement, mais que de façon mystéreiuse nous n'avons pas de sièges attribués sur ce vol, malgré la confirmation que tout est en règle de notre côté... Elle passe 20 minutes au téléphone pour finalement nous dire que c'est tout bon, nous laissant soin de "sprinter" vers les contrôles de sécurité et la salle d'embarquement, où nous arrivons à 11h55, soit 5 minutes avant le supposé décollage... sauf que l'avion n'était pas là ! Pas encore arrivé. Au final, nous ne partirons qu'à 12h35. Plus de peur que de mal...
Si l'intérieur de l'A380 est plus grand (c'est surtout visible en largeur, avec deux sièges de plus par rangée), les sièges et l'espace disponible pour chaque voyageur sont pratiquement les mêmes que sur les autres avions. Rien de bien impressionnant à ce niveau-là, du coup je n'ai même pas pris de photos de l'intérieur.
Voir décollage et atterrissage en caméra extérieure est tout simplement génial ! Dans l'ensemble, j'ai aussi eu l'impression que la cabine est plus silencieuse que sur les appareils plus "anciens", ce qui est un vrai plus en termes de confort. Sinon, les lumières d'ambiance qui changent de couleur en cours de vol sont un autre petit gadget divertissant.
Pour le retour la semaine prochaine, nous serons avec British Airways jusqu'à Dallas, et pas d'A380 cette fois-ci. En attendant, je vous laisse, il y a deux réveillons à faire avant d'en arriver-là ;-)