Je cours, tu marches, et on s’enfuit,
Loin d’une terre qui nous arrache,
Nos âmes, nos forces, nos jours et nuits,
Nos idéaux vivent sans relâche.
Loin d’une terre qui nous arrache,
Nos âmes, nos forces, nos jours et nuits,
Je garderai cet air bravache,
Qui dans le drame me poursuit.
Je cours, tu marches, et on s’enfuit,
Nos idéaux vivent sans relâche,
Loin d’une terre qui nous arrache,
Nos âmes, nos forces, nos jours et nuits.
Aliénor Samuel-Hervé