Il paraîtrait...

dimanche 21 décembre 2014

- qu’il paraîtrait va faire l'écolier, et partir en vacances. Et mille, zouh, là, hue go, mots passants je vous le dis, le mille-et-unième IP est là pour annoncer un départ, le temps de ce qu’on appelle les vacances scolaires. Scolaires, qui a rapport à l’école, à l’enseignement, et vacances, période d'arrêt légal de travail dans les écoles, les universités, ou des salariés. Donc, un quasi oxymore, telle l’obscure clarté de Corneille, non ? Un mille-et-unième pour annoncer un retour, aussi, car les vacances se termineront nécessairement, c’est même le principe de la chose, sinon, ça ne s’appellerait pas ainsi, et à coup sûr, ça s’appellerait autrement. Au fait, les fêtes, faites-les, et je vous souhaite, de par le fait, qu’elles soient parfaites ; au faîte, en fait.
- qu’il paraîtrait va faire l'écho lié, et repartir en vacances, comme le 7 août dernier, et copier-coller, c’est honteux, qu’il va se mettre en vacance pour partir en vacances, et son auteur, lui, va faire ce qu’il veut, écrire, vaquer, écrire, courir, écrire, lire, écrire, rire, écrire, ou manger du chocolat, et sans doute écrire, bref, il va faire ce qu’il veut. Mais je proteste, je m’oppose à la chose. Comment peut-on prétendre écrire un billet quotidien et faire l’école buissonnière le temps de vacances dites de Noël, elles-mêmes à l’appellation fallacieuse puisqu’elles se prolongent au-delà de la Saint-Sylvestre ? Et que vient faire Grosminet, Sylvestre donc, le meilleur ennemi de Titi, dans cette affaire ? Ou alors, certains auraient accroché les boules sur des pins Sylvestre, ou c’est lui, qui, pour les huîtres, apporte le pain, Sylvestre ? Tout ça n’est pas très clair sauf analyses, fines, de claire, puisqu'on parle huîtres. Au fait, les fêtes, faites-les, et je vous souhaite, de par le fait, qu’elles soient parfaites ; au faîte, en fait.
- qu’il paraîtrait va faire les colliers, et le plein, de perles, de bons mots qu’il entendra, d’infos qu’il glanera, de moments de bonheur, de sourires, de rires, de regards complices, de papiers cadeaux qu’on déchire, d’yeux qui brillent, de conversations qui n’en finiront plus, évitant les conversations qui n’en finissent pas, de chocolat évidemment, de verres qui tintent, d’assiettes qu’on vide, de babines qu’on se lèche, d’amour, de famille, de lumières étincelantes, de clochettes qui tintinnabulent, de pistes qu’on descend, de flocons qu’on laisse tomber sur le bout de sa langue, puis qu’on écrase planches aux pieds en descente, de plats typiques, de plats qui piquent, sans plat hippique qui n'est là que le bon mot ; des colliers, le plein, de tout ce qui est bon, de tout ce qui est bien, de tout ce qui est beau. Et après, il reviendra. Au fait, les fêtes, faites-les, et je vous souhaite, de par le fait, qu’elles soient parfaites ; au faîte, en fait.