On croit tout savoir sur Noël, et bien ça c’était avant.

L’idée qu’on a de Noël est propre à chacun, mais c’est synonyme de joie et de bonheur pour la majorité d’entre nous. Mais il y a les choses cachées, les faits auxquels nous n’avons jamais pensé, ou jamais réellement su. Levons le doute, allumons la lumière sur les derniers mystères que cache Noël.

Les chiffres le prouvent : à Noël les régimes sont impossibles à tenir

1,7 : c’est le nombre moyen de kilos pris pendant les fêtes. Pas étonnant vu les 40 000 tonnes de chocolat soit près de 600 grammes par personne qui vont être consommées cette année par vos petites papilles. Pour les plus téméraires, c’est les 75 000 tonnes d’huîtres qui les attendent. La France produit 150 000 tonnes d’huîtres par an, et la moitié est consommée pendant les fêtes. Le pire, c’est que les huîtres et le chocolat ne sont pas des plats à part entière, ce sont des luxes que si l’on s’accorde, si possible, pour les fêtes. Imaginez donc l’impact du plat de résistance ! Les 2,5 millions de dindes qui s’apprêtent à sauter dans vos plats ; les raclettes, fondues et autres plats savoureux qui envahiront vos repas. Ne vous étonnez donc pas si votre balance n’affiche plus votre poids à la rentrée..

Mon beau sapin roi des forêts

Si on alignait tous nos sapins de Noël en France, le total mesurerait environ 7250 kilomètres. 7250 c’est 7 fois la hauteur de la France du Nord au Sud ! C’est finalement peu surprenant quand on sait que près de 6 millions de sapins seront vendus en France pendant les fêtes. Pour 15 jours de fêtes c’est donc plus de 7 km de sapins qui vont disparaître, car après Noël on les jette tous, poubelle. Cette fois ci, ne les jetez pas : une grande partie d’un sapin est nutritive, les aiguilles notamment, qui sont une excellente source de vitamine C. Désormais vous saurez, pour entamer un régime ou bien se remettre économiquement des fêtes, rien de telle que de garder son sapin et de préparer de petits bouillons avec les aiguilles le soir. Sinon, donnez-le à Schola Africa.

Noël, bonne ou mauvaise nouvelle ?

D’où vient le mot Noël ? Chaque pays à son mot pour désigner Noël. Quelle est l’origine du mot et sa signification ? En France , Noël vient de l’expression « les bonnes nouvelles », c’est donc de bonnes nouvelles qu’on apporte à Noël, et par le fil des choses des cadeaux. Il y a mieux comme provenance, mais il y a pire aussi. « Merry Christmas ! », le joyeux Noël anglais. Cette expression est censée avoir une connotation bienveillante vu qu’on la balance à tout bout de champs pendant une quinzaine de jours. Et bien figurez-vous que non, ce que vous dites est loin d’être bienveillant. En effet, mass (qui vient de maess) dans le vocabulaire religieux anglais signifie sacrifice par la mort. En Angleterre, on ne souhaite donc pas la naissance du Christ mais bel est bien sa mort en utilisant cette expression.

Le Père Noël, c’est lui !

L’info vient de tomber : Superman est notre Père Noël en France mais aussi Santa Klaus au Royaume-Uni, Le Befana en Italie et Deushka Moroz en Russie. D’ailleurs on pouvait s’en douter qu’il fallait des supers pouvoirs au Père Noël pour être partout à la fois. Si il veut livrer tous les cadeaux dans le soir de Noël, il lui faut faire 822 maisons à la seconde et voyager à 3 769 200 km/h soit 1000 km par seconde. Après investigation, il me semble bon de donner mon avis. Superman est un imposteur car c’est quand même bonbon d’aller aussi vite. Sachant qu’en recherchant des informations sur le Père Noël, on a découvert qu’il recevrait 1,3 millions de courriers en France et qu’il comptait y répondre de sa propre main, voilà de quoi faire naître beaucoup de soupçons sur l’identité réelle du Père Noël.