Chivas Regal au Victoria 1836

Publié le 19 décembre 2014 par Pascal Iakovou @luxsure

Le nom du Victoria 1836 marque une date symbolique pour la ville de Paris, avec l’inauguration de l’Arc de Triomphe. La construction de cet édifice fut ordonnée par Napoléon 1er au lendemain de la bataille d’Austerlitz, solide hommage aux grandes victoires et grands personnages qui marquèrent l’Histoire.

A cette même période en Ecosse, les frères James et John Chivas reprenaient une épicerie fine à Aberdeen, dans le Speyside. Avec l’apparition des whiskies de grain en ce début du XIXème, comme quelques autres précurseurs, ils eurent la judicieuse intuition d’assembler les whiskies de malt qui sommeillaient dans leur cave avec ces nouveaux venus. Une méthode d’élaboration innovante qui leur permit d’obtenir un whisky au goût parfaitement équilibré.Avec la commercialisation de ces produits fins, les 2 entrepreneurs se forgèrent une belle réputation en Ecosse. En 1843, à l’occasion d’un séjour de la Reine Victoria dans son château de Balmoral, ils se virent décerner le titre tant convoité de «Fournisseur Officiel de Sa Majesté ». Depuis, l’art de l’assemblage des whiskies des frères Chivas a su traverser les âges. Il est aujourd’hui minutieusement perpétué par Colin Scott, Maître Assembleur chez Chivas Regal depuis 1989.

C’est pour illustrer la richesse de ces destins et sublimer le Victoria 1836, lieu d’exception, qu’a été élaboré le parcours de dégustation Chivas Regal. 3 espaces, 3 ambiances, et autant de façons de déguster ce whisky qui traverse avec nous l ’Histoire.

Le Bar

Incarnant Chivas Regal à travers le monde, ce connaisseur a pour ambition de vous faire découvrir le whisky sous de nouvelles facettes. Pour le bar du Victoria 1836, Max Warner s’est ainsi plongé en profondeur dans l’Histoire du Cocktail et celle de Chivas Regal.

En remontant le temps, il a élaboré avec minutie une carte de 10 créations, offrant une large palette de profils aromatiques. The Old Victorian, le cocktail signature de l’établissement illustre la rencontre entre le Victoria 1836 et Chivas Regal. Voici une création originale aux arômes racés et puissants, inspirée des recettes des années 1840. Une période à laquelle les frères Chivas se voient décerner le titre de Fournisseur Officiel de Sa Majesté, la Reine Victoria. En cet hommage, The Old Victorian est assemblé puis vieilli en bouteille, pour des notes de dégustation plus rondes.

Chivas Regal 18 ans d’âge, Jean de Lillet rouge, Ricard, Havana Club 7 ans, jus de citron et un dash de bitter servi en vaporisateur .

Au restaurant du Victoria 1836

Un accord mets & whisky a été travaillé par le Chef Alexandre Auger et le Chef de Bar.

Le menu «Expérience Victoria 1836» propose une sélection de plats raffinés accompagnée du drink signature Le Victorian Cordial, recette à base du whisky Chivas Regal 18 ans d’âge.

L’alliance de deux savoir-faire autour d’un rituel de service unique, pour une explosion d’arômes et de saveurs… Sur chaque plat, l’équipe du restaurant vous proposera un Victorian Cordial, que vous pourrez orienter selon votre préférence.

Service Trolley Chivas Regal 18 ans Victorian Cordial

Menu Expérience victoria 1836

Entrée

FREGOLA SARDA CUISINÉE À LA CRÈME D’ARTICHAUD, PARMESAN ET POUTARGUE

Plat

FILET DE BOEUF ROSSINI, PURÉE ONCTUEUSE BIEN TRUFFÉE

Dessert

VICTORIA 1836

95€

Au Salon du Victoria 1836

Tel un parfumeur, le Maître-Assembleur Colin Scott sélectionne les whiskies en fonction de leur profil aromatique, de leur caractère et de leur complémentarité. Il marie les arômes, les saveurs, les notes fruitées, florales ou épicées pour parvenir à l’équilibre parfait et à cette harmonie caractéristique de Chivas Regal.

Après le diner, le parcours gustatif peut se prolonger au salon du Victoria 1836 en appréciant la gamme Chivas Regal , ou certains des Malts qui entrent dans son assemblage.

Une occasion unique de déguster dans un cadre exceptionnel Chivas Regal 25 ans d’âge. Un whisky qui fut lancé par la maison Chivas Brothers à New-York en 1909 et qui devint rapidement un symbole, très plébiscité par la haute société New-Yorkaise. Disparue avec la prohibition, cette référence légendaire réapparait en 2007, grâce au savoir-faire minutieux de Colin Scott.

12, rue de Presbourg – Paris 16e