Qui davantage que notre inconscience ou notre ignorance nous fait le plus grand mal,
A nous la volonté de notre bonheur,
Sommes-nous libres de nous souvenir,
Sommes-nous vie bien avant notre naissance,
Depuis sommes-nous enfants de l’espérance,
En besoin profond d’exulter notre amour,
En désir sincère de le confronter à toutes ces jouissances,
Ne devons-nous nier ces plus intimes souhaits,
Rendons-nous à notre première évidence,
Pourquoi cette volontaire souffrance,
Pourquoi s’infliger tout ce mal quand tant de bien pouvons-nous vivre,
En tout sourire,en toute confiance de notre éternité retrouvée.