Par Bernard Vassor
Cette annonce datée de 1864, fait suite à un procès pour escroquerie entamé en 1861. Jules-Isaac Mirès, malgré ses relations avec le pouvoir est incarcéré et condamné à 5 ans de prison pour faux et escroquerie. Peine qui fut cassée presque aussitôt en appel, il obtint sa réhabilitation complète.
A suivre