La storytelling fait du bien (ou du mal) par où il passe. Physiquement : il a de vrais impacts sur le corps humains (dit comme ça, on a l’impression de parler d’impacts de balles de revolver, mais finalement, ce n’est pas tellement éloigné…).
Des chercheurs finlandais ont mené l’enquête et ont publié leurs résultats dans les Proceedings de la National Academies of Science américaine.
Leurs découvertes n’ont rien de révolutionnaire mais sont instructives pour tout storyteller.
La représentation graphique ci-dessus illustre les effets ressentis par plus de 700 sondés, exposés à des mots, des histoires, des films, des expressions. Une augmentation de l’activité ressentie dans le corps est identifiée par des couleurs allant du jaune au rouge ; une diminution de l’activité ressentie dans le corps est matérialisée par des tons de bleu.
Le plus intéressant est que ces impacts sont localisés dans certaines parties du corps, ce qui permet d’associer à des histoires des éléments sensoriels qui interagissent avec cela. Le storytelling peut voir alors son efficacité accrue de bien belle manière !