Lu ici :
"Alléluia ! Le réalisme socialiste est de retour. 19 ans après l’effondrement de l’Union soviétique, 40 ans après la fantasmagorie révolutionnaire de 1968, Cannes réhabilite un genre que l’on croyait – espérait ? – à jamais disparu, le cinéma militant (pour ne pas dire, s’agissant de l’Education nationale, de classe ou scolaire).
Vous avez aimé « La moisson au Kolkhoze Lénine » ou « L’héroïque combat des travailleurs du Kombinat Octobre » ? Alors vous applaudirez « Entre les murs » de Laurent Cantet" (suite).
Voilà sans doute pourquoi une telle agitation médiatique et ces paroles de Jack Lang :
"Le film de Laurent Cantet est un film émouvant, bouleversant, une forme d'hommage indirect à l'école (...) Ce film tombe à point nommé au moment où, à l'inverse, le gouvernement aime si peu et si mal l'école".
Et pour finir, une question de ce blog :
"Question à 100 balles : combien seront-ils, parmi les spectateurs d’ « Entre les murs » à vouloir inscrire leurs enfants dans le merveilleux collège Françoise Dolto ?"