Mais pourquoi ?
Autant, je ne saurais trouver de raison à cela. En même temps, je constate que, si j’ai encore aujourd’hui et alors que j’ai écouter de nombreuse fois l’album dans son intégralité, je reste pour l’instant assez perdu face à la musique du groupe de Philadelphie.
Malgré tout, et c’est le pourquoi de ces quelques mots : une poignée de titres m’a accroché, scotché même. Pas besoin d’aller loin, ce sont les singles et/ou morceaux du début d’album, soit les premier, deuxième et quatrième titres.
Respectivement « Under the pressure », « Red sky » et « An ocean in between the waves », notamment les deux derniers, me laissent sans voix, alors même qu’ils ne proposent rien d’extraordinaire. D’ailleurs, ils ont presque un côté kitch, avec des résonances très Springsteen ou Dire Straits (donc, années 80). À l’inverse, et donc très paradoxalement, une certaine classe est immédiatement perceptible, j’ose dire un peu à la Pulp, car c’Est-ce que je ressens.
Bref, même la pochette présente tout ce qui pour Lost In The Dream appelait un succès à venir. Si les ventes demeurent encore faibles par rapport aux autres grands albums de 2014, le nombre incroyable de louanges faites au groupe en décembre et janvier devrait tout changer pour The War On Drugs.
(in heepro.wordpress.com, le 12/12/2014)