Cet avis ne sera absolument pas objectif car de base 1/j’adore la bouffe mexicaine 2/j’adore les endroits style « taquerias ». Les taquerias, c’est ces sortes de petits restos mexicains assez kitchs, supers gourmands et plutôt « intimistes » (pas intime en mode chaleur sur toi, plutôt intime en mode lumières tamisées et envie de sourire tout en dansant et sirotant des tequilas). Et on retrouve cet esprit là chez Luz Verde : des petites vierges Marie sur les murs, des crânes mujer de la muerte, des matières brutes (bois, métals…), un grand comptoir, des petites tables hautes et des murs qui sentent bons le tacos et la cerbeja. J’ADORE je trouve ça trop stylé (pour moi, ce type de resto ça va être la méga môôôôde en 2015, je vous le dis).
Mais une déco et un service sympa, ça ne fait pas tout un resto. NOUS on veut MANGER (et comme des porcs en plus). On fait un peu la grimace devant des prix qui sont aussi pimentés que les plats qui sortent de la cuisine mais #THUGLIFE on va (presque) tout goûter. Les tacos sont très bons, les quesadillas aussi (j’adore les quesadillas, je trouve que c’est l’une des plus belles invasions culinaires au MONDE). Je suis calée avec 4 portions et un bout de pain super bon. Roxanne-la-poisse (son nouveau surnom), elle, fait la moue. Elle a eu des petits os dans son tacos au poulet. Pas de quoi fouetter un sanglier, le resto est tout nouveau, et c’est un risque à prendre quand on sert du fait-maison ; le travail en cuisine ne relève pas d’une science exacte ! A côté, on avait commandé une salade d’encornets méga healthy, avec grenade, noisettes et tutti cuanti. Très sympa ! Avec tout ça, on s’en est sortie pour 14€ chacune sans boissons et avec largement la place pour le dessert (on a gobé la gaufre au choco du comptoir belge d’à côté #bonplan). Une note un peu salée (ahahahahah jeu de mot jeu de rigolo) pour un déjeuner (faites un menu le midiiiii ça serait parfait !) mais trop sympa pour un pot avec les potes (on ne m’arrête plus !) à la nuit tombée ! En plus, le resto a prit place rue Henry Monnier, l’une des p’tites rues qui monte, qui monte, dans le secteur food !