La découverte du gui sur mon peuplier grisard m’a fait penser aux plantes parasites des plantes. J’ai déjà vu et photographié dans la région les 3 parasites de plantes supérieures qu’on peut trouver sous notre climat : la cuscute, l’orobanche et le gui.
Ma première rencontre a été avec l’orobanche, au bord de la Seine sur mon terrain de Trifouilly. C’est vraiment une très jolie plante. Le 29 mai 2007 :
Le 12 juin :
Une fleur est déchirée (je n’y suis pour rien). Cela permet de bien voir le pistil avec stigma violacé et deux étamines, surtout les 2 filets et les anthères au bout de l’un d’eux, celles de l’autre étant cachées par le pistil.
Le 11 juillet les fleurs sont fanées :
La détermination des orobanches n’est pas facile. Je pense qu’il s’agit de Orobanche minor qui n’a rien de mineur, elle est aussi grande qu’une autre, elle a plus de 15 fleurs. Elle ne possède aucune trace de chlorophylle, c’est donc un parasite total. On l’appelle aussi orobanche du trèfle mais elle n’est pas difficile, elle ne parasite pas que lui et n’a donc aucun mal à trouver une victime.
J’ai découvert la cuscute, Cuscuta europaea, au Jardin des Plantes de Paris en 2009. La plante qu’elle parasite avec le plus de plaisir, c’est l’ortie dioïque. Le 18 mai, ce sont ces fines tiges rouge vif qui s’entortillent dans les orties :
Elle fleurit en été et parfois plus tard. Je pense que ce que j’ai photographié le 21 janvier, ce ne sont plus les fleurs, on ne voit pas les pétales, mais les fruits et les graines :
Tout le monde connait le gui, Viscum album. C’est un hémi-parasite car il fabrique de la chlorophylle, tiges et feuilles sont bien vertes :
Je veux surtout vous montrer de nouveau ces jolis embryons entourés d’une substance collante. S’ils ne sont pas transportés par une grive, ils tomberont et iront se coller sur une branche au-dessous :
Ces photos ont été prises un 1 janvier.
La découverte du gui sur mon peuplier grisard m’a fait penser aux plantes parasites des plantes. J’ai déjà vu et photographié dans la région les 3 parasites de plantes supérieures qu’on peut trouver sous notre climat : la cuscute, l’orobanche et le gui.
Ma première rencontre a été avec l’orobanche, au bord de la Seine sur mon terrain de Trifouilly. C’est vraiment une très jolie plante. Le 29 mai 2007 :
Le 12 juin :
Une fleur est déchirée (je n’y suis pour rien). Cela permet de bien voir le pistil avec stigma violacé et deux étamines, surtout les 2 filets et les anthères au bout de l’un d’eux, celles de l’autre étant cachées par le pistil.
Le 11 juillet les fleurs sont fanées :
La détermination des orobanches n’est pas facile. Je pense qu’il s’agit de Orobanche minor qui n’a rien de mineur, elle est aussi grande qu’une autre, elle a plus de 15 fleurs. Elle ne possède aucune trace de chlorophylle, c’est donc un parasite total. On l’appelle aussi orobanche du trèfle mais elle n’est pas difficile, elle ne parasite pas que lui et n’a donc aucun mal à trouver une victime.
J’ai découvert la cuscute, Cuscuta europaea, au Jardin des Plantes de Paris en 2009. La plante qu’elle parasite avec le plus de plaisir, c’est l’ortie dioïque. Le 18 mai, ce sont ces fines tiges rouge vif qui s’entortillent dans les orties :
Elle fleurit en été et parfois plus tard. Je pense que ce que j’ai photographié le 21 janvier, ce ne sont plus les fleurs, on ne voit pas les pétales, mais les fruits et les graines :
Tout le monde connait le gui, Viscum album. C’est un hémi-parasite car il fabrique de la chlorophylle, tiges et feuilles sont bien vertes :
Je veux surtout vous montrer de nouveau ces jolis embryons entourés d’une substance collante. S’ils ne sont pas transportés par une grive, ils tomberont et iront se coller sur une branche au-dessous :
Ces photos ont été prises un 1 janvier.