Losing Isaiah
JEAN NEZ MARRE. JEAN NEZ MARRE. JEAN NEZ MARRE.
Voici mon cri de ralliement actuellement. Je suis à la bibliothèque universitaire comme... tous les jours de la semaine... Mon cerveau est en surchauffe, il s'enflamme, je m'enflamme et je commence à péter une durite. Non, véritablement, le master c'est sympathique, hein ! Pas de partiels, profitez de vos partiels, pauvres fous. Presque pas de cours... Et des dossiers à rendre en décembre/janvier. J'en ai actuellement deux sur cinq de faits. Deux sur cinq. La bibliothèque, ce lieu insolite où tu croises des gens avec qui tu n'aurais jamais pensé parlé. La bibliothèque, cet endroit où tu croises ton ex, abonné absent depuis plusieurs mois et qui réveille ta libido éteinte par l'hiver. La bibliothèque, cet endroit où tu es seul... La vie.
Plus sérieusement, le master se déroule plutôt bien. J'ai un brin d'avance sur les dossiers - autant dire que les trois derniers sont commencés mais pas achevés. J'ai réalisé pas mal de lectures en parallèle pour mon mémoire... Le plus dur est de concilier le boulot avec les études. Disons que les journées bibliothèque - faculté - boulot ne sont pas des plus joyeuses, surtout quand tu restes au travail de 18h30 à 00H30 et que tu rentres pour constater que les factures sont arrivées. Ah... ah. Le système de ce master me rend perplexe puisque je n'ai pas de cours de tronc commun, je n'ai pas de nouvelles de mon référent - et je me cache aussi bien de lui... 'fin bref c'est bizarre. D'autant plus que toutes les validations se font par dossier ou fiches de lecture =========> pas le droit à l'erreur.
Mais je le vis bien.
(C'est court, mais je sens la température de mon cerveau retomber, j'en profite alors pour me pencher sur cette troisième partie qui ne s'écrit pas)