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Crash-test : l’Huile Essentielle de Palmarosa en déo.

Publié le 10 décembre 2014 par Eclectikgirl
Lorsqu’on passe au naturel, une des choses qu’en théorie il est plus facile à remplacer, c’est le déodorant. En théorie. Parce que le chimique, c’est toxique, mais très efficace. Avant de trouver la bonne formule de déo, j’ai testé : * La pierre d’alun. Au bout d’un mois  : irritant. Et il semblerait que ce ne soit pas si inoffensif. * Le bicarbonate de soude : tout seul, sur aisselles humides. Pour certaine, ça fonctionne. Chez moi, non. Et irritant, aussi. * L’huile essentielle, seule : géranium, ou citron. BAD IDEA. J’ai fait une réaction (c’est de ma faute aussi, je m’étais rasée la veille …), et j’ai eu les aisselles rouges et douloureuses pendant deux semaines … * L’huile de coco + HE : efficace, mais pas longtemps. Et l’huile imprêgne les vêtements, qui le lendemain, sent le rance. Pas top. Heureusement, je suis tombée sur la recette d’Antigone XII. Un mélange d’huile de coco, de maïzena, de bicarbonate de soude et d’huile essentielle. A l’époque, je n’en avais pas beaucoup, donc j’ai utilisé l’HE d’orange douce, puis j’ai tenté Géranium (mais j’aime pas l’odeur), et enfin citron (ne tient pas longtemps). Alors quand La Compagnie des Sens m’a proposé de choisir une HE sur leur site, j’ai repensé à l’article d’Ophélie, qui conseillait l’Huile Essentielle de Palmarosa, car c’est la plus efficace (avec la sauge sclarée) pour réguler la transpiration, et pour son action anti-bactérienne (qui permet de neutraliser les odeurs). Sitôt le petit flacon reçu, j’ai tambouillé …    Voici la recette : que j’ai réduit de moitié pour n’avoir l’équivalent que de 2 pots : – 100 gr 50 gr d’huile de coco – 60 gr 30 gr de bicarbonate – 40 gr 20 gr de maïzena – 20 gouttes 10 gttes d’huile d’huile essentielle de Palmarosa Dans un bol, met l’huile de coco. Elle est à l’état solide, donc soit tu le laisses réchauffer sur un radiateur, soit dans un pseudo bain-marie : je fais tremper le fond dans un récipient d’eau chaude, et je touille, je touille. Quand l’huile est bien liquide ( ça ne doit plus être pâteux, du tout du tout. Ça peut prendre quelques minutes. Parfait pour tes petits biceps), ajoute petit à petit le bicarbonate et la fécule de maïs ( moi j’alternais une cuillère de chaque) en mélangeant bien à chaque fois, pour éviter les grumeaux. Une fois que tout est incorporé, ajoute 10 gouttes d’huile essentielle de Palmarosa. Tu mélanges bien, et de suite tu verse dans le pot, referme, et … terminé. Plus qu’à attendre que ça se solidifie. Ce diaporama nécessite JavaScript.                                   Le test ! (Enfin. Oui, enfin, je suis bavarde :  40 lignes pour en arriver là ^^)  * L’odeur : je ne suis pas déçue/ oui, ça sent la fleur, mais ce n’est pas comme la rose, l’Ylang-Ylang ou le géranium : entêtant et un peu lourd. Non, la Palmarosa, c’est délicat, léger et j’aime beaucoup ! * L’efficacité : clairement, de toutes les formules que j’ai testé, c’est ce qui fonctionne le mieux. J’en met le matin sur aisselles propres et sèches, ça sent bon jusqu’à la moitié de l’après-midi. Et même si je transpire (c’est humide, donc), je ne sens pas la sueur, et ce, jusqu’au soir. Ps : l’été, quand il faut bien bien chaud, l’huile de coco à tendance à se liquéfier. Antigone propose d’ajouter 10 gr de cire d’abeille ou de cire végétale à la préparation.   Anya  

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