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Dans un monde ultra connecté où les clients, les sites de production, les salariés et les parties prenantes de sont disséminés aux quatre coins du globe, le risque de réputation est considéré comme primordial :- 87% des dirigeants considèrent le risque de réputation comme le risque stratégique le plus important pour leur entreprise
- 41% des chefs d’entreprises sondés reconnaissent qu’un évènement nuisant à leur réputation peut avoir des conséquences sur leur chiffre d’affaires.
- Seuls 19 % des entreprises sont confiantes dans leurs compétences en matière de gestion de ces risques aujourd’hui.
La majorité des entreprises (76%) ne doute pas de la force de leur réputation.Toutefois, cette confiance s’effrite lorsqu’il est question des dispositifs mis en
place pour se protéger des risques de réputation et y faire face le cas échéant.
Seules 19 % des entreprises sont pleinement confiantes dans leurs dispositifs en matière de gestion de ces risques.Les entreprises ayant connu par le passé un événement nuisible à la réputation estiment que les atteintes les plus importantes concernaient le chiffre d’affaires (41 %) et la valeur de la marque (41 %).
Les principaux facteurs de risques de réputation selon les entreprises sondées sont
- l’éthique et l’intégrité (55 %), et notamment la fraude et la corruption
- les risques sanitaires et liés à la sécurité (45 %), tant physiques qu’électroniques
- les risques liés aux produits et aux services (43 %)
- au Directeur Général (36 %),
- au Risk Manager (21 %),
- ou au Conseil d’Administration (14 %).
- Les clients (81 %)
- les instances de réglementations (73 %),
- les employés (68 %),
- les dirigeants (68 %)
- les investisseurs (65 %).
- les problématiques relatives aux entreprises en amont et en aval de la chaine de production (47 %),
- aux attaques de la concurrence (44 %),
- ainsi qu’aux autres facteurs exogènes comme les catastrophes naturelles (44 %).
A l’inverse, elles sont plus confiantes lorsqu’il s’agit de risques sous leur contrôle direct : réglementation (69%), faute grave d’un salarié (68%), faute grave d’un dirigeant (67%)
57% des entreprises sondées déclarent envisager répondre aux risques de réputation en investissant dans des outils d’analyse et de suivi de marque, et par la mise en place de cellule de crise.
Menée auprès de plus de 300 dirigeants à travers le monde, l’étude « Deloitte Reputation at Risk » confirme l’importance de la réputation et son impact sur la confiance des clients, la valeur de la marque et les résultats de l’entreprise.Voir l’infographie dynamique en cliquant ici.
Christian BARBARAY http://www.init-marketing.fr