C'est lundi, la semaine commence et autant partir sur une note d'humour, histoire de s'oxygéner après quelques billets incompris par des anonymes souffreteux.
Quelques beaux mots tirés d'un livre de Monsieur Millau.
« Dictionnaire d'un peu tout et n'importe quoi ». © Millau.
Anglais :
« La question reste posée de savoir si les Anglais sont des êtres humains. »
Adulte :
« Se dit d'un enfant qui a mal tourné. »
Citant Winston Churchill : « Dans mon unité de cavalerie, il y avait un officier qui était tellement bête que même ses camarades s'en étaient aperçus. »
Citant Woody Allen : « L'avantage d'être intelligent, c'est qu'on peut toujours faire l'imbécile, alors que l'inverse est totalement impossible. »
« Je tiens beaucoup à ma montre. C'est mon grand-père qui me l'a vendue sur son lit de mort. »
« La seule façon d'être heureux, c'est d'aimer souffrir. »
Qui savait qu'Angela Merkel a versé à la France le solde dû sur les dommages de la guerre 14/18 (un total de 269 milliards de mark -or), soit un solde de 95 millions d'euros, à Monsieur Hollande ? Ils ont tout payé, rubis sur ongle, nos « maintenant » amis teutons !
De Millau : « Tandis qu'une partie de l'humanité crève de faim en silence, l'autre discute sur les mérites ou les dangers de la méthode Atkins ou du régime Dukan.
Que fait Dieu pendant ce temps là ? Il regarde ailleurs et laisse faire. Il y a des moments où je me demande si nous n'aurions pas confié la direction de l'Univers à un incapable. »
Sur l'Académie française :
« Il serait injuste de s'en moquer. Tout compte fait, on n'y trouve pas tellement plus d'imbéciles qu'à l'ENA, au Parlement, à la télévision ou chez les abonnés au gaz.
Mais la plus belle définition, rapportée par Marcel Proust, qui s'applique à l'Académie est cette réflexion du duc de Doudeau-Ville venant de refuser à Paul Bourget, au sommet de la gloire littéraire, l'entrée au Jockey-Club : « Heureusement, nous sommes ici encore quelques uns pour qui le mérite personnel n'a strictement aucune importance ».
Sur les mariages mets/vins :
« Sans en faire une règle, ce qui serait aussi stupide que de s'embarquer dans un monde fait de passages cloutés, le meilleur des mariages entre vins et plats, c'est l'union libre. Et même, parfois, l'adultère. » Page 355.