Le dernier opus d’Al Green est un condensé de sensualité, un retour à un jam qu’on n’avait plus entendu ailleurs que sur Liverpool Street.
Al Green a fait appel aux contributions de John Legend ou encore Anthony Hamilton. On en parle ici :
“Tout a commencé en 2006, lorsque Guestlove et Poyser ont arrangé une rencontre aux mythiques Electric Lady Studios de Manhattan (New York) : “Quelle séance ! se souvient Al Green. Ensemble, proposant chacun un refrain, un couplet ou un pont, nous avons esquissé huit chansons pour démarrer le projet. Il n’y a pas eu l’ombre d’un problème d’ego, nous avons composé comme dans un rêve.”
Neuf des onze chansons du disque sont nées ce jour-là. Le reste des séances s’est étalé sur les deux années suivantes, Al adaptant son planning aux disponibilités des artistes avec lesquels il souhaitait collaborer. L’enregistrement de “Lay It Down” s’est déroulé dans l’esprit de la première séance, les musiciens échangeant des idées, écrivant un bout de texte par ci, des bribes de mélodie par là.”
A courir écouter. Nul doute que ça va en inspirer plus d’un