20 % des Français ont entre 50 et 65 ans, ce qui représente 13,5 millions de personnes. La presse reste étonnamment frileuse à l’égard de cette cible.
Peu de magazines leurs sont destinés, et quand c’est le cas, ils sont généralistes et visent l’ensemble des seniors. Mais qu’y a-t-il de commun entre un quinqua encore en activité professionnelle ou un tout jeune retraité, et un senior qui doit, gérer sa perte de mobilité et ses problèmes de santé.
Il y avait un vide à combler et SilverAge a fait le pari de proposer un magazine rien que pour eux, et plus particulièrement pour les Happy Boomers, quinquas et jeunes retraités aisés.
Les Happy Boomers ont connu les belles années des Trente glorieuses, ils se projettent dans un avenir de loisirs, de culture et d’art de vivre pour les quinze prochaines années, avec un pouvoir d’achat suffisant pour se faire plaisir. Ils sont actifs, sportifs, hédonistes. Ils aiment voyager, se cultiver, prendre soin d’eux. Ils recherchent les bons plans et veulent s’informer sur les tendances du moment.
Une maquette élégante, de belles photos qui donnent envie, SilverAge, le magazine gratuit des Happy Boomers et Boomeuse s’adresse aux hommes comme aux femmes.
C’est Maria Berenson, magnifique, qui fait l’honneur de ce premier numéro.
L’automobile y a une belle place avec cinq pages ! On y retrouver aussi des conseils déco, mode et beauté.
Acheter un appartement à Miami, faire une croisière sur le Mékong, se délasser dans un spa, aller à l’opéra, c’est certain, les thèmes choisis sont pour une clientèle haut de gamme …
Les journalistes de SilverAge ont l’âge de leurs lecteurs. C’est même une obligation pour espérer collaborer avec le magazine. La benjamine a 46 ans ! Ils ont tous l’expérience de grands supports et sont bien placés pour savoir ce que veulent les seniors.
Le magazine a fait le choix d’une version consultable sur internet, et d’une distribution gratuite dans près de 3000 points de loisir haut de gamme. On peut aussi s’abonner au prix de 35 €. SilverAge parait tous les deux mois.
Gageons que ce magazine saura attirer les annonceurs, à l’affut des lecteurs CSP +.
Allez, exit la ménagère de moins de 50 ans, et on s’occupe enfin des quinquas !