De qui parle-t-on ? :
Groupe Australo-britannique, actif depuis1973, dont le seul membre fondateur encore en activité est Angus Young, accompagné de Brian Johnson, Phil Rudd, Cliff Williams et Stevie Young.
De quoi parle-t-on ? :
On ne change pas une équipe qui gagne, toujours ce rock reconnaissable entre mille issu du Blues-rock.
Rythme :
- Je me suis endormi dans mon fauteuil
- Ne me perturbe pas quand je lis en même temps
- Mes pieds se mettent à bouger
- Je me lève et je fais la danse de l’épaule
- Mes enfants sautent comme des cabris dans la pièce
Le rythme est plutôt mid-tempo mais on ne peut refreiner une furieuse envie de se lancer dans une séance de Air guitar.
Accessibilité :
- Après plusieurs écoutes je n’ai toujours pas saisi la mélodie
- Plusieurs écoutes sont nécessaires avant d’apprécier la mélodie
- Mélodie agréable mais sans aspérité
- Les refrains entrent directement dans ma tête
- Que des hits taillés pour les stades
Play ball, Dogs of war, Rock the house ou Sweet candy, pour ne citer qu’eux, feront chavirer les foules.
Audience :
- Musique que madame me demande de réécouter
- Peut-être écouté en famille sans déranger madame
- Madame s’en va quand je l’écoute
- Tellement bizarre que je fais attention d’être seul pour l’écouter
- Tellement bruyant que mes voisins ne me parlent plus
Même les gens qui n’ont jamais apprécié le Hard-rock, reconnaissent AC/DC.
Qualité audiophile :
- J’ai l’impression que c’est mon voisin qui écoute l’album
- Le format MP3 n’altérera pas trop l’écoute
- S’écoute impérativement en format non compressé (CD ou autre)
Rock monocorde, rythme constant et mid-tempo, production hors norme, tout est fait pour une écoute en format compressé.
Conclusion :
- Je l’ai écouté une fois mais c’est une fois de trop
- Après plusieurs écoutes j’ai du mal à m’y faire
- Je l’écoute facilement mais sans émotion
- J’ai beaucoup de plaisir à l’écouter
- Il tourne en boucle sur ma platine
Ô AC/DC
Après six ans d’absence et quarante ans de parcours,
Te voici de retour comme au plus beau des jours.
Très loin du temps où la cloche annonçait l’enfer,
Chacun de tes disques agite toujours la terre.
Meurtri par Malcolm et sa santé précaire,
Touché par Phil et ses tristes affaires,
La fleur de l’âge ne t’offre aucun répit,
Mais Angus, l’immortel, entretient ta survie.
Ton riff sans aucunes rides n’évolue plus,
Mais tes adorateurs ne demandent rien de plus.
Rock or bust, parfait opus pour les stades,
Fera grandir un peu plus ta fabuleuse légende.
Grand chambellan du seigneur Rock’n’roll,
Tu n’auras eu de cesse de glorifier ce rôle.
Espérons, à l’avenir, d’autres de tes bienfaits,
Pour que raisonne à jamais le nom d’AC/DC.