« … Le puits se remplissant et se régénérant par capillarité, il faudrait simplement le curer manuellement pour éliminer les 1,50m de sables et limons qui obstruent le fond du puits et qui empêchent le passage de l’eau. Le mieux est de faire intervenir un puisatier… » Bon, j’vais pas vous faire un dessin, toute la maisonnée est pleine d’espoir face au puits vide. Oh et puis si tiens, en voilà un…dessin (mais ce n’est pas moi qui l’ai fait ; c’est l’un des 2 supers intervenants de l’association) :
Je n’avais jamais vu un sourcier et sa baguette qui se dresse subitement sur une zone "humide" (ah non hein, ne croyez pas, qu’à cet instant précis, mon article va déraper en contenu douteux !) ; en l’occurrence, chez moi, c’est une sourcière, Corinne, qui a œuvré et j’ai été littéralement fascinée par ses pouvoirs. Je n’ai, hélas, pas pris de photos, trop absorbée que j’étais par la magie du moment. En tout cas, Corinne l’a affirmé : il y a de l’eau et avec un débit très intéressant en plus !
Je vous passe tous les détails techniques qu'ont utilisés les sourciers comme faire descendre l'APN en mode vidéo pour filmer toutes les zones du puits. Ce qu'il faut retenir, c'est qu'après un bon decrassage de printemps, Puits pourra à nouveau nous arroser. Message perso : "Michèle, t'es trop forte : t'as trouvé des perles pour sauver le jardin et la facture d'eau !"
Tant que j’y suis, j’en profite pour vous montrer mon dernier ouvrage dans le jardin. Il s’intitule « L’Homme n’aime pas…mais moi, si ». J’ai ressorti ma brosse à encoller, mon huile de lin, mon essence de térébenthine et mes pigments pour badigeonner les murets tristement gris et abîmés de l’entrée. Au tout début de Jardine et ris, j’avais fait un billet (ici) sur ce glacis que j’utiliseAvant prise en charge par ma brosse...
...Après la séance