S'il y a quelque chose qui me démoralise, ce est un jour d'hiver trop doux, quand il pleut presque où que tout en a l'air. Ça me déprime ; c'est aussi simple que cela. En fait, je pense que se sont les seules conditions extérieures qui me baissent le moral. Pourtant, je me souviens de ces circonstances depuis que j'ai commencé à skier.
Cela fait donc une « paye » et ce n'est pas un sentiment tout neuf. C'est tout à fait ça; un sentiment que je ne crois que beaucoup de skieurs partagent et qui se retrouve au fin fond de leur « cercle du bonheur. » Cela dit, j'ai décidé de rester calme pendant cette période déplaisante, je continue de penser de façon positive à la neige mais sans toutefois manifester aucune attente particulière.
C'est ma façon d'envisager le pire scénario hivernal !