C’était une promesse de campagne : le Premier ministre islandais, Sigmundur Davíd Gunnlaugsson, élu en 2013, a confirmé que le pays allait annuler une partie de la dette des ménages islandais qui avaient contracté des emprunts immobiliers avant la crise de 2008.
Cela a été rendu possible parce que le peuple d'Islande s'est révolté au lieu de se laisser faire.
Partout ailleurs dans le monde on a préféré sauver les banquiers et précipiter des milliers de gens dans la misère.
Six ans plus tard les banquiers se portent comme un charme et nous subissons toujours les effets de la crise de 2008. Pire, les banquiers persistent dans leurs errements comme si rien ne s'était passé. Et la finance tient désormais le haut du pavé.
Jusqu'à la prochaine crise.