Que vous dire de plus qu’on n’aurait pas déjà dit précédemment (à moult reprises) sur Neeskens ? En première partie de Zaza Fournier, le chanteur et son groupe (un percussionniste et un bassiste/pianiste) ont réalisé un joli prologue bien qu’une extinction de voix ait voulu s’immiscer sur scène. Visiblement l’envie de jouer avec ses deux musiciens après beaucoup de préparation a pris le dessus, même si – il le confie sans détour -, il avait perdu tout courage la veille. Mais résultat, il est rudement content d’être avec nous. Ça tombe bien, c’est réciproque.
Le garçon est plutôt bavard pour une fois, mais en néerlandais. Too bad, on ne comprend pas encore cette langue, qu’il maîtrise si élégamment et divinement bien sur Groenlo. Jesus is a Horse n’est pas mal non plus, même si l’on a d’abord un peu de mal à se faire à l’ajout des percus sur un titre habituellement en guitare-voix. Il va falloir s’y faire. De nouvelles choses aussi, pas mal du tout, tandis que la fin du set arrive bien trop tôt, avec une version entraînante et enjouée de Where Bridge Ends. Et nous serons là, la prochaine fois, pour le concert « en forme », car si celui-ci n’était pas du Lady Gaga redbullée, nous on a bien aimé.
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