Le 15 Octobre 2014, Jérôme Lavrilleux quitte l’UMP, voyant dans la procédure d’exclusion qui le concerne « une mascarade, une justice d’exception. » Mais le paradoxe, c’est qu’il prend des accents gaulliens pour dénoncer son exclusion de l’UMP (parti se recommandant précisément de l’héritage gaulliste!) sous l’impulsion d’« un quarteron de premiers ministres en retraite. » Alain Juppé, François Fillon et Jean-Pierre Raffarin auront sûrement apprécié la fine allusion à la dénonciation par le général de Gaulle du putsch d’Alger en 1958, à l’instigation d’« un quarteron de généraux en retraite »!