L’objet connecté produit des interactions de natures variées qui, au-delà de leur usage premier, restent pour la plupart à inventer. Un appareil électro-ménager connecté permet d’avertir le SAV en cas de panne ? Mais il peut aussi donner des conseils d’utilisation ou renseigner le fabricant sur l’usage qui en est fait. Un vélo connecté peut être géolocalisé en cas de vol ? Mais il peut aussi se comporter en coach sportif ou en indicateur d’activité physique, ce qui intéressera potentiellement le médecin, l’assureur et le fabricant du vélo. Un compteur intelligent automatise le relevé des compteurs d’eau ou d’électricité ? Mais il peut aussi faciliter le suivi de l’hydratation et de l’activité de patients et personnes âgées.
Une kyrielle d’objets connectés gravitant autour de l’individu, de son domicile, de ses véhicules, lui apporteront des services et fourniront automatiquement des informations utiles. Celles-ci seront, le cas échéant, transmises au SAV, au service clients, au marketing ou à la logistique qui, en retour, seront souvent amenés à contacter le client. En somme, les objets déclencheront des interactions avec l’entreprise. En ce sens, ils constituent un nouveau canal de la relation client qui vient s’ajouter à l’email, au téléphone ou aux réseaux sociaux.
Source: www.itrnews.com
See on Scoop.it – e-Pharma & Social Media