C’est lui, c’est Etienne Chouard !
Inlassable pédagogue du TAS (tirage au sort des représentants du Peuple : volonté des citoyens)....
Et même si ce système de nomination peut être critiqué (ICI vous trouverez une critique convaincante *)...
Black-listé au Parti-de-gauche, une meute composée de journalistes et d'activistes politiques cherche à l’abattre : Les Inrocks, l’Express, des membres de M6R (Pour une 6è république) sur Médiapart ! Encore Médiapart qui semble se spécialiser dans le lynchage ad hominem !
La raison de cette cabale ?
Devinez ?
Et bien... même si aucun de ses détracteurs ne l’avouera, on reproche à Etienne Chouard d'entretenir des relations avec différents acteurs de la dissidence, lesquels acteurs partagent en commun deux défauts majeurs : ils ne sont ni islamophobes ni complaisants à l'égard d'une idéologie, le sionisme, telle que la politique d’Israël et la soumission de toute la classe politique et médiatique ainsi que de l’Etat français et des institutions européennes peuvent nous en donner chaque jour une représentation : colonisation, bombardements civils, assassinats et chantage à l’antisémitisme.
Aussi, qu'il soit permis ici d'adresser à Etienne Chouard, infatigable démocrate, un soutien sans réserves.
* Ce qui n’implique pas que l’on doive faire confiance à son auteur, membre du parti de gauche, proche de Mélenchon et de Médiapart ; un dénommé Clément Sénéchal qui a tout du profil de celui qui ira manger, dès que l’occasion se présentera, à la gamelle de la politique aux frais des contribuables, à raison de plusieurs milliers d’euros par mois, courant le mandat de député ou autres comme d'autres le cachet, ce qui peut expliquer son parti pris contre le tirage au sort qui remettrait en cause, il est vrai, un nombre conséquent de carrières passées et à venir d'activistes qui n'attendent que de pouvoir « se gaver » car on oublie de dire que la politique est une activité très très lucrative, qui plus est... net d’impôts, en partie… dans tous les cas autrement plus lucrative que le déroulement d’une carrière universitaire de files d'attente ou un marché de l’emploi dans un secteur privé où il faut chaque matin aller vraiment gagner sa pitance et non la voler.
D'où la nécessité, soit dit en passant, d'un projet de dé-professionnalisation de la politique et de la réduction drastique de son train de vie (Tout le monde au SMIC !)... et ce afin qu'elle cesse d'être le refuge de ceux qui ne veulent pas se lever le matin pour aller bosser.
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