Le livre :
Papillon - suivi de la Lionne de Yukio Mishima aux éditions Folio, 117 pages, 2 €.
Pourquoi cette lecture :
Ma passion pour le Japon a fait que j'ai eu envie de lire et découvrir un texte court pour commencer d'un auteur presque classique, Yukio Mishima. Cet ouvrage simplement posé sur une des tables de présentation de livres à thème dans un bibliothèque m'inspiré et voilà comment je me suis retrouvée à le lire. Une rencontre absolument pas programmée.
Le pitch :
Extraordinaire interprète de l'opéra de Puccini Madame Butterfly, la cantatrice Tamaki Miura donne ce soir un dernier récital bouleversant. Parmi les spectateurs, Kiyohara se remémore un autre récital, vingt ans plus tôt, à la Scala, auquel il assista avec la jeune Hanako. Dans ces deux nouvelles sobres et émouvantes, le grand romancier japonais explore différentes facettes de l'amour et de ses tourmentsCe que j'en pense :
Une note très courte pour vous parler d'un ouvrage tout petit qui pourtant m'a attiré, mais qui m'est ensuite tombé des mains.
Ces deux nouvelles n'ont absolument pas trouvé grâce à mes yeux et je me suis forcée à les lire jusqu'au bout. Tant est si bien que je ne parviendrai pas à rédiger une note complète comme d'ordinaire. Cela m'a fait me souvenir de certaines lectures obligatoires au collège ou au lycée. Des textes qui parfois m'ennuyaient tant que je les lisais en mode automatique, mais n'en retenais rien.
J'ai trouvé cela pompeux, ennuyeux et pourtant tout tourne autour de ce sentiment merveilleux qu'est l'amour. Mais, car il n'y a pas un seul mais, mais toute une ribambelle, la mort est trop présente et avec les évènements qui se déroulent au Japon depuis quelques temps, j'avoue que j'ai du mal. Ce n'était sans doute pas le bon moment pour cette lecture. Reste qu'en regardant après ma difficile lecture, ici ou là sur la Toile, je me suis aperçue que je n'avais pas été la seule dans la blogosphère littéraire à ne pas accrocher du tout.
Je suis désolée, mais ayant vraiment détestée ces nouvelles, j'ai bien du mal à en parler. J'ai rarement eu autant de répulsion pour un ouvrage.
Et s'il fallait mettre une note : 7 / 20