Tombs argues that England has historically propagated its values through interaction with others – spreading Christianity in Medieval times, as a force for European civilisation and free trade more recently, and as an Empire. The result, he says, is that Englishness is not founded on ideas of opposition and exclusion, but on inclusion and expansion.L'Angleterre m'est apparue comme une société de classes très éloignées les unes des autres, qui bouge très peu. Un nombre étonnant d'Anglais importants appartiennent à de très vieilles familles, les barons et les ducs apparaissent très vite dans les arbres généalogiques. C'est un peu comme s'il n'y avait pas eu de Révolution en France. Ce que ce pays a de révolutionnaire, ce sont les idées qu'il diffuse, sans généralement se les appliquer. En particulier, notre Révolution me semble avoir été principalement construite sur des idées anglaises. J'en suis arrivé à me demander si l'Angleterre ne se maintenait pas inchangée grâce au chaos qu'elle entretient ailleurs. Divide and rule.
(Qu'elle soit ouverte culturellement me semble évident : son modèle repose sur un apport périodique de capitaux par de grandes fortunes qui viennent généralement de l'étranger, par exemple les oligarques russes, actuellement. En outre, elle apprécie la main d'oeuvre bon marché.)