Honte sur moi, je ne lis pas beaucoup. Un reste de l’école sans doute, où malgré mon goût littéraire je n’ai pas vraiment supporté qu’on me dise quoi lire et quand le lire. N’essayez même pas de me conseiller un bouquin, c’est le meilleur moyen pour qu’il finisse en cale sous un pied de table. Pourtant des livres j’en ai plein. De ceux que j’achète à ceux conseillés par Monsieur (qui si tu as compris mon blocage mettent un bout de temps avant que j’en ouvre une page…). En plus je cumule, car je lis très lentement. Il m’arrive même de décrocher pendant ma lecture, et de reprendre deux pages avant pour me raccrocher. Et puis il y a ceux que je n’ai de prime abord pas envie de lire. Et puis va savoir pourquoi je vais un jour en choper un dans la bibliothèque et le dévorer d’une traite. Je lis un peu de tout, de la chick litt à l’essai sociétal… Et enfin ceux que je commence, et que je ne finis pas, en les remettant à plus tard, sans m’avouer que si je les mets en mode pause c’est parce qu’il ne me plaisent pas. Même si j’y mets un point d’honneur (Trilogie du Seigneur des Anneaux, un jour je te finirai !) car malgré ma tendance à la procrastination j’ai horreur de ne pas finir ce que j’ai commencé. Tout ça pour dire que cette tendance entraîne un besoin en quantité de marque-pages…
Florilège de ce qui traîne sur la table de nuit
Et ça tombe bien parce que c’est le thème qu’Alice et Zaza (dont je viens de voir qu’on avait choisi le même titre pour ce billet !) ont choisi pour aborder cette semaine… Petit tour d’horizon !
Je n’aime pas abîmer les livres, donc je n’abuse pas de la petite corne en haut d’une page. En plus à force on finit par ne plus savoir à quelle pliure se fier, pas pratique quand comme moi on est capable de délaisser un ouvrage pendant des semaines…
Je me sers d’un peu tout ce que je trouve quand je n’ai rien sous la main, du ticket de caisse à la photo qui traîne… Et quand on bosse en office de tourisme, les bouts de papier on n’en manque pas…
Le coin de meuble, un marque page utile aussi… dans La Fabrique du crétin de Brighelli, lecture en cours Une carte postale promotionnelle d’une visite d’église de ma région d’origine dans Les Raisins de la Colère (qui prend la poussière, j’ai du mal avec les longues descriptions de la grande littérature, honte sur moi encore…)Mais j’aime bien quand même avoir de vrais marque-pages !
La Cathédrale de Rouen par Monet, dans l’Homme aux Cercles Bleus de Fred Vargas Mon préféré, fait par Petit Monsieur à la crèche, dans Vengeance en Prada, une lecture en coursEt toi, tu les marques comment tes pages ?
La semaine prochaine, c’est le calendrier de l’avent qui sera mis à l’honneur, ce qui me permettra de vous reparler de celui de Petit Monsieur, qui va servir pour la troisième année consécutive, avec quelques petites adaptations que je vous présenterai à cette occasion !