"Il n'y a plus d'aventure". Nos vies ont perdu leur sens. Voici une raison de djihadisme, me disait Christian Kozar. Et ce avant que l'on découvre que certains djihadistes étaient des Français de souche.
La soif de gloire serait-elle une caractéristique de l'homme ? (De certains hommes ?) Nous avons besoin de courir après un idéal qui nous dépasse ? Or, à l'image du postmodernisme et du néoconservatisme, ce qui caractérise notre société est une sorte de surplace ? Désir de jouissance ?
Autre forme de Yin et de Yang : gloire et jouissance ? Pour retrouver un peu de goût à la vie, tous djihadistes ?