Dag, saison 1 : un conseiller conjugal atypique pour une comédie acerbe

Publié le 23 novembre 2014 par Myteleisrich @myteleisrich
allicine, un puissant antimicrobien, de la vitamine C, de l’iode, du magnésium et du soufre, qui sont d’autres anti-infectieux.

Consommation : 2 gousses d’ail crues ou 4 cuites/jour sur 2 à 3 prises, écrasées ou hachées à avaler avec une gorgée d’eau.

L’ail traite les affections de la peau
En usage externe, l’ail ferait merveille contre les mycoses et les verrues (papillomavirus).
Pourquoi : L’ail est un puissant antifongique, antibactérien et antiviral grâce à sa teneur en allicine.
Mise en œuvre : Appliquez une purée d’ail cru haché avec un sparadrap pendant la nuit jusqu’à guérison. Protégez la peau saine environnante avec du vernis à ongle incolore ou un pansement car le suc est irritant.

L’ail à des Propriétés vermifuges
Les propriétés toenifuges de l’ail et son pouvoir antiseptique, contre les morsures d’ animaux enragés,  de serpents et contre les vers intestinaux , étaient bien connus des médecins de l’antiquité.  Il a été de tout temps, semble t-il, utilisé pour se débarrasser des parasites intestinaux, en particulier les ascarides lombricoles de l’intestin grêle et les oxyures du rectum. Par contre, il ne montre aucune efficacité contre le ténia ou le vers solitaire.

Mise en œuvre : Administrer de l’ail bouilli dans du lait, sous la forme de sirop d’ail

L’ail vasodilatateur et anti-coqueluche

Vasodilatateur, l’ail prévient plusieurs affections du sang et accidents de la circulation mais aussi contre les troubles congestifs de la ménopause, on  recommande de le prendre en une confiture d’ail.

Mise en œuvre : On épluche et râpe deux têtes d’ail que l’on mélange soigneusement avec l’eau et quatre cuillerées à soupe de miel liquide. On conserve le tout bien bouché. Puis on en prend deux cuillerées chaque jour.  Dans les cas les plus graves, on aura plutôt recours à un alcoolat : on fait macérer quelque dix jours de l’ail haché dans l’alcool à 60° en agitant fréquemment et on en met quelques gouttes sur un morceau de sucre dès les premiers symptômes. Pour la coqueluche, on respire du jus d’ail puis on en prend buccalement quelques gouttes matin et soir.

à l'humour caustique, parfois féroce, souvent absurde. Centrée sur son personnage principal, la série fonctionne cependant comme un ensemble au sein duquel les figures secondaires contribuent tout autant à la tonalité corrosive ambiante. Tandis que Dag a toute latitude pour développer amplement ses théories sur l'asociabilité de l'être humain et l'incompatibilité naturelle entre deux individus auxquelles se heurte fatalement tout projet de vie commune, les autres protagonistes ne sont pas en reste. Chaque épisode est ainsi le témoin des derniers désastreux choix relationnels de Benedict, le -seul- ami de Dag, qui démarre la saison en abandonnant sa compagne, sur le point d'accoucher, à la maternité, se retrouvant poursuivi par les parents bouchers serbes de celle-ci pendant une bonne partie des épisodes. Au cabinet, les remarques de Malin, secrétaire intrusive pour qui la confidentialité est une notion inconnue, et les brèves sessions avec des clients, réguliers ou nouveaux venus, toujours hauts en couleurs, parachèvent de poser l'ambiance. La série se construit par petites touches souvent mordantes et sombres sur la nature humaine en général et les relations portées à l'écran en particulier. Agrémentée de tirades désillusionnées qui font mouche, elle cultive une tonalité résolument corrosive, rafraîchissante à sa manière dans cette façon atypique et décalée d'aborder ces grands thèmes classiques que sont la vie, la mort, la solitude... et l'amour.

Pour autant, derrière ces apparences aussi désenchantées qu'acérées, la série n'en est pas moins pourvue d'une certaine sensibilité. Car, au fil de la saison, le portrait de Dag se nuance à mesure qu'il se précise. Si le conseiller conjugal tient farouchement à son indépendance, faisant tout pour que rien ne puisse ni l'atteindre, ni le toucher (en témoigne le véritable sas qu'il s'est aménagé dans son appartement entre l'extérieur et les pièces dans lesquelles il vit), des informations sur son passé et sur sa famille, dévoilées progressivement, viennent nous donner une meilleure compréhension du personnage. Mieux encore, sa carapace se fissure face à l'obstination de sa sœur, puis d'Eva rencontrée justement par son intermédiaire. En effet, Eva s'immisce dans la vie minutieusement réglée de Dag, perturbant son quotidien et faisant dérailler quelques-uns de ses principes cardinaux, sans qu'il puisse vraiment refuser quoique ce soit à cette jeune femme qui brouille les défenses qu'il a érigées autour de lui. La mort de son père vient aussi le questionner. En filigrane, une interrogation se dessine : cela vaut-il la peine de tenter de s'ouvrir au monde, ou du moins à quelqu'un d'autre ? Sa philosophie de vie solitaire, aussi rationalisée qu'elle paraisse, ne dissimule-t-elle pas surtout la peur du rejet, de l'échec, de l'aléa tout simplement inhérent à toute relation ? Construire quelque chose à deux, c'est accepter de prendre un risque. De donner et de recevoir. Dag en est-il capable ? Sans rien brusquer, cette saison 1 est ainsi une histoire d'évolutions, sans que nul ne sache vraiment où elles conduisent...



Dotée d'un humour acerbe et mordant, Dag est une comédie noire chargée de désillusions sur la nature humaine, qui excelle dans un registre à la fois provocateur et absurde. Sa tonalité à part repose en partie sur les épaules de sa figure centrale, conseiller conjugal atypique à la philosophie de vie solitaire revendiquée, mais aussi sur une galerie de personnages secondaires qui contribuent pleinement au décalage ambiant. Souvent féroce, délicieusement corrosive, mais non dépourvue d'une humanité qui pointe derrière son désenchantement, Dag est une série qui peut faire office d'introduction parfaite dans le registre comique venu du Nord. Avis aux amateurs (et aux sériephiles curieux) !


NOTE : 7,5/10


Pour conclure, laissons le mot de la fin à Malin, la secrétaire de Dag, qui explique les raisons qui l'ont conduite à choisir son métier :

"I love human disappointment. Or, not disappointment, exactly. But suffering. People who obliterate their sense of dignity. People banging their head against the wall, their heart on their sleeve... I just love it. It's just my cup of tea." (S01E03)


Les premières minutes du pilote (sous-titrées en anglais) :

L’ail contre la toux et la clarification de la voix

L’ail est aussi préconisé contre la toux.  Une décoction d’ail, non seulement calme la toux et éclaircit la voix, mais allège les douleurs de poitrine consécutives aux coups de froid.

Ail cru, cuit ou en poudre
L’ail cuit ne vaut pas le cru. L’allinase, enzyme qui permet la formation de l’allicine et autres composés sulfurés, se dégrade avec la chaleur. Un truc : ajoutez l’ail cru quelques minutes avant la fin de la cuisson.
On le trouve aussi en poudre, avec un avantage : celui de ne pas provoquer d’haleine forte. Mais pour être efficace, il faut prendre 1 gramme/jour d’extrait d’ail à 1,3% d’allicine en capsules gastro résistantes (les sucs gastriques rendant inactifs l’allicine).

Attention : Éviter de trop consommer d’ail si vous prenez des médicaments anticoagulants, car il fluidifie le sang.

Astuce de « grand mère »

  1. Comment éviter la mauvaise haleine avec l’ail.Plus on mange d’ail, moins on sent l’ail. La consommation régulière de ce condiment favorise la formation d’enzymes, qui aident à minimiser les émanations aillées.
    Inutile de vous brosser les dents, ça ne marche pas ! Préférez la consommation de quelques brins de persil ou d’une à deux feuilles de menthe fraîche juste après le repas. La chlorophylle supprime l’odeur alliacée.
  2. Comment mieux digérer l’ail pour ceux qui le digère mal : enlever le germe ( le truc vert dans l’ail), souvent responsable de ce désagrément.

Effets indésirables et Contre-indications :

Aucune contre-indication connue, sauf peut-être pour les personnes atteintes de porphyrie, une maladie très rare du métabolisme sanguin.
On recommande cependant d’éviter de consommer d’importantes quantités d’ail avant et après une intervention chirurgicale en raison de ses effets anticoagulants qui pourraient augmenter les saignements.

Combinés à l’ail, les anticoagulants peuvent causer des saignements spontanés. Il peut abaisser le taux de sucre dans le sang et avoir des répercussions chez les diabétiques qui prennent de l’insuline. À éviter 24 heures avant une intervention chirurgicale.

Mis à part de légers malaises gastro-intestinaux occasionnels à la suite d’une forte consommation d’ail et de possibles réactions de la peau ou des muqueuses résultant de l’application topique d’ail frais, les seuls effets indésirables notables sont les effluves que dégage l’haleine du mangeur d’ail. La consommation régulière d’ail favorise la formation d’enzymes qui aident à minimiser l’odeur. Manger du persil frais aide également à réduire la mauvaise haleine.
Certaines personnes peuvent avoir de la difficulté à digérer l’ail cru.

Interactions

Avec des plantes ou des suppléments

Les effets de l’ail pourraient s’ajouter à ceux d’autres plantes ou suppléments qui éclaircissent le sang ou qui ont des effets anticoagulants ou hypoglycémiants.

Avec des médicaments

Les effets des suppléments d’ail pourraient s’ajouter à ceux des médicaments qui éclaircissent le sang ou qui ont des effets anticoagulants ou hypoglycémiants.Ne pas consommer d’ail conjointement avec de l’aspirine.

L’ail peut aussi contrer l’efficacité des immunosuppresseurs

Le règle d’or
Les produits naturels ne sont pas sans danger. Informez votre médecin des produits naturels que vous prenez, peu importe les médicaments que vous consommez ou le problème de santé pour lequel vous êtes traitée. Votre pharmacien peut aussi vous conseiller, n’hésitez pas à le consulter.

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Mots clés / Tag: ail · allium · Phytothérapie