Evo Morales et son ancienne institutrice (photo Télam)
Hier, il a revu son institutrice à Salta.
Aujourd'hui, de nombreux Boliviens sont des réfugiés économiques en Argentine et ils ne sont pas toujours ni partout les bienvenus. Surtout dans les grandes villes où la xénophobie fait des ravages dans certaines classes sociales défavorisées.
Il serait bon que cette visite améliore l'accueil des étrangers là où celui-ci est si détérioré.
Pour aller plus loin : lire l'article de Clarín lire l'article de Página/12.