Cette question du ratage en storytelling est assez courante. On cherche justement à ne pas rater sa communication en switchant de la communication classique vers le storytelling, et patatras, on obtient un résultat qui n’est pas meilleur !
C’est que l’on a très certainement raté quelque chose en cours de route : un ingrédient de la recette mal dosé ou, plus souvent encore, oublié.
Voici deux de ces “ingrédients” du storytelling souvent oubliés ou mal utilisés :
1. Votre histoire ne parle pas de votre public mais de vous
C’est un grand classique. On oublie qui est le véritable héros de l’histoire, et voilà ! On ne se raconte pas une histoire à soi-même quand on prend la parole. Il y a un auditoire, et c’est pour lui que nous sommes venus parler ! Se focaliser sur ses produits, son entreprise ou sa personne est donc à prohiber. Vanter la perfection de ses produits ou ses projets sans parler des besoins de son public est inefficace.
2. Votre histoire est basée sur la logique et non sur les émotions
Il ne s’agit pas non plus de tout baser sur des émotions. Il faut aussi des éléments factuels. Oubliez cependant les listes à puces avec leurs avantages produits ou les différentes qualités du projet que vous défendez. Votre public prend ses décisions en se basant sur des émotions (même si, à posteriori il affirmera le contraire - et sera même certain de ne pas mentir !).
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