Difficile de cerner ce roman qui tient en grande partie - et 600 pages nourries - de la science-fiction, d'une projection d'Humanité irradiée, perdue et du quotidien, si l'on peut dire, d'un kolkhoze sibérien, nommé "Terminus radieux" où survivent des êtres millénaires, rescapés des radiations, nostalgiques de l'ancienne Union soviétique.
Déconcertant pour le moins
Prix Médicis 2014.. pour le plus
AE,
Terminus radieux, Antoine Volodine, roman, Ed du Seuil, août 2014, 620 pp