et la mort dedans
pour nous éclairer.
J’ai fini la nuit
par l’ongle d’un rêve
qui a laissé trace à mon front.
Tout s’est ouvert
comme une armoire
sur des vêtements poignardés
qu’un jour il faudra bien porter,
avec une lame enfoncée
de l’étoffe à la chair
et de la chair à l’âme.
***
Jean-François Mathé (né en 1950)