Maîtriser les hashtags, c’est pas sorcier !

Publié le 14 novembre 2014 par Loeilaucarre @loeilaucarre

Le hashtag est aujourd’hui incontournable sur les réseaux sociaux, qu’on souhaite communiquer ou s’informer. Voici quelques conseils pour devenir un pro des mots-dièse.

Aujourd’hui plus que jamais, le hashtag n’est pas un « truc de geek » sur Twitter, mais bien ce petit plus qui fait vraiment la différence sur les principaux réseaux sociaux. Que ce soit pour votre veille, suivre un évènement précis, localiser ou indexer des contenus, nous sommes (presque) tous adeptes du # (à faire avec les doigts). Voici comment utiliser ce symbole à bon escient !

Avec parcimonie les hashtags tu utiliseras

Chaque jour, environ 500 millions de tweets sont envoyés dans le monde. Le hashtag vous aide donc à faire le tri dans ce flux d’informations et à vous focaliser sur les thèmes qui vous intéressent.

Autre avantage : le mot-dièse permet de contextualiser un message (#pratique). Les internautes qui effectuent une veille sur les réseaux sociaux via les hashtags peuvent lire vos contenus et s’abonner, par la suite, à votre profil.

Aucune recommandation officielle sur le nombre de hashtags, mais (si on doit vous donner un nombre) limitez leur présence entre trois et cinq par message, selon les réseaux sociaux, pour ne pas être pris pour un spammeur.

27 hashtags !

Au bon endroit ton dièse tu placeras

Pour qu’un hashtag soit pris en compte, le symbole # doit être placé directement avant le mot-clé (#mot et pas mot#).

Il n’est pourtant pas rare de lire des contenus avec le symbole en début et fin de mot, le hashtag n’est donc pas pris en compte. C’est bien dommage, on est d’accord !

De la même manière, les espaces après le dièse et les signes de ponctuation (point, tiret, arobase ou esperluette) ne sont pas pris en considération. Seul l’underscore tire son épingle du jeu et peut être placé dans un hashtag.

« Ah non mais ma chérie c’est pas possible ! » dirait Cristina Cordula

On y était presque !

Des espaces tu n’oublieras pas

Pour un gain de place, notamment sur Twitter et ses 140 caractères, certains « collent » leurs hashtags les uns à la suite des autres. Imaginez qu’une personne parle d’une traite, sans respirer : ses propos sont étouffés. Le mot à garder en tête dans ce cas-là : aérer.

Petite astuce : si vous souhaitez utiliser plusieurs mots dans un seul hashtag, les majuscules vous permettront de différencier les termes. Par exemple, #IntelligenceEconomique est plus lisible de cette manière plutôt qu’en minuscules.

Oups, aucun hashtag ne marche correctement !

Des hashtags seuls tu ne laisseras pas

Comme on vous le disait plus haut, le mot-dièse permet de contextualiser un propos… mais quel intérêt s’il n’y a rien à contextualiser ? (#vide #cqfd).

Bon, on se doute quand même que cette personne est fan des Bleus

Pour finir sur une note humoristique, je vous invite chaleureusement à regarder cette vidéo de Jimmy Fallon et Justin Timberlake, sur l’utilisation des hashtags lors de conversations IRL (In Real Life)