Ecrire

Par Gentlemanw

Si je lis depuis toujours, avec gourmandise, j'ai d'abord dessiné des centaines de gribouillis sur mes cahiers et sur des feuilles, avant de transcrire mes histoires en mots, en voyelles et consonnes.

Et ce passage est devenu phrases et chapitres, souvent des courts artciles, des pages et des cahiers plus ou moins remplis, sans aucun repère temporel. Avant, après, pendant des ruptures amoureuses, durant des voyages, j'ai écrit de courts instants, parfois des heures, et même une fois, durant tout un week-end. Je me rappelle de ce moment, comme hier, cinquante pages en deux jours, juste pour les glisser ensuite dans une enveloppe, pour une jeune femme dont je pensais partager l'amour. Et pourtant ...

Mais les mots ont repris plus tard, pour des lettres, des échanges sur une chose qui s'appelait encore du papier, puis avec un clavier, par internet, via des commentaires, des forums et des dizaines, des centaines, des milliers de commentaires.

Et puis le temps est passé, j'ai lu plus qu'écrit, mais je goût est revenu quand les voyages porfessionnels ont été plus nombreux, les heures d'attente dans un  train ou un aéroport aussi. J'ai posé des mots, j'ai laissé vagabonder des idées sur différents sujets, sur mes passions, j'ai même gagné un prix spécial du jury pour un texte sur le vin.

Quand la vie m'a secoué, abîmé pour me pousser vers le sol, terrassé de doutes et de douleurs, ce jour-là, j'ai trouvé dans les mots, un moyen sûr de vivre. De revivre d'abord, en regardant autour de moi, en imaginant ce que je ne voyais plus, en eséparnt fort que la féminité serait un jour l'avenir de l'homme. Alors j'ai exploré malgré moi, plutôt en regardant derrière au bout d'un an de mots, de virgules et de points. J'ai vu vos commentaires, vos emails, vos critiques, vos conseils, et la bonheur d'un blog, enfin de plusieurs blogs comme un cocktail de médicaments obligatoires à ma vie. 

Oui ces mots, que parfois vous lisez, parfois commentez, ce sont des petits bonheurs, des reflets flous ou nets de vos facettes, de votre féminités. Ils me sont indispensables.

Et si des créatures galmour se baladent sur les pages, je n'y peux rien, parfois mon imgaination ne se contrôle plus, à moins que ce nes oit votre regard et vos pensées qui ne changent l'image de ce que nous lisons, de ce que j'écris, de ce que nous interprêtons.

Merci à vous, toutes et tous.

Nylonement