Le Tailleur de Gloucester de Beatrix Potter

Bonjour à tous,

      Aujourd’hui, c’est l’heure du conte de Beatrix Potter. En ce mercredi il s’agit du Tailleur de Gloucester. Ce petit conte est paru en 1903. Beatrix Potter a toujours affectionné ce conte,  il était l’un de ses favoris.

       Dans la charmante petite ville de Gloucester, vit un charmant vieux monsieur. Celui-ci travaille sans s’arrêter du matin au soir. Il est le tailleur de la ville. Ce vieux monsieur vient de recevoir la commande la plus importante de sa vie. Le maire de Gloucester va se marier le jour de Noël et demande au tailleur un costume élégant. Ce costume risque de changer la vie de ce brave tailleur. Alors après avoir coupé les étoffes, le tailleur rentre dans sa petite maison exténué. Il demande à son chat Simon d’aller faire quelques courses pour lui. Il lui donne quatre sous afin d’aller chercher à boire et à manger. Le dernier sous doit servir à acheter une bobine de fil de soie rouge. Sans cette bobine, le tailleur ne pourra pas terminer le costume.

      En attendant le retour de Simon, le tailleur entend de multiples petits bruits vers le vaisselier. En soulevant quelques tasses à thé, il libère les petites souris que Simon s’était mis de coté. De retour, Simon ne voit plus son repas par conséquent il décide de cacher la bobine de fil au tailleur. Ce dernier est anéanti car il ne pourra pas finir son travail à temps. Au cours de la nuit, le tailleur a une terrible fièvre et reste coucher trois jours de suite. Simon se sent coupable de ce qu’il arrive à son maître surtout en découvrant que les petites souris qu’il avait libérées, tentaient de l’aider. À votre avis, le tailleur arrivera-t-il à terminer son travail malgré l’aide de Simon et des petites souris?

      Ce conte est très beau. Le texte de cette histoire est plus long que celui des contes précédents. Par conséquent on a l’impression qu’il y a moins d’illustrations. Mais elles sont toujours aussi splendides. J’adore ce conte, il est superbe. La morale est très jolie. C’est ce qui est appréciable dans les contes de Beatrix Potter.

Voici les illustrations correspondantes au Tailleur de Gloucester :