De Girls & Boys à Doolittle
Né en tournée, le titre Banquet ne remporte pas les faveurs des acolytes de Kele qui se fait taquiner : « On dirait Girls & Boys » de Blur. Hautement influencé par les Pixies à l’époque (notamment le morceau Bleed sur le légendaire album Doolittle), Kele décide d’enregistrer le morceau malgré tout et s’inspire de Bleed pour les paroles. Il nous explique ainsi d’où viennent également les « ah ooh » et détaille la composition des riffs de guitares qui se répondent avec une vraie volonté « d’utiliser nos guitares comme des armes« .
De Girls & Boys à Doolittle
Né en tournée, le titre Banquet ne remporte pas les faveurs des acolytes de Kele qui se fait taquiner : « On dirait Girls & Boys » de Blur. Hautement influencé par les Pixies à l’époque (notamment le morceau Bleed sur le légendaire album Doolittle), Kele décide d’enregistrer le morceau malgré tout et s’inspire de Bleed pour les paroles. Il nous explique ainsi d’où viennent également les « ah ooh » et détaille la composition des riffs de guitares qui se répondent avec une vraie volonté « d’utiliser nos guitares comme des armes« .
L’influence Blue Monday
A l’inverse des autres membres du groupe, Paul Epworth (producteur, entre autres, du premier album de Bloc Party Silent Alarm, également connu pour son travail avec les Babyshambles, Maximo Park, Primal Scream ou encore le dernier album de Paul McCartney) adorait la démo et décortique alors les différentes pistes pour mettre en valeur ce travail de guitares porté par une batterie qui rappelle volontairement Blue Monday de New Order. Découvrez également pourquoi Kele nous parle de cannibalisme, et comment la démo a évolué pour devenir le tube imparable que c’est aujourd’hui.