Et ceci malgré l'amendement du 30 octobre dernier, pris par l'Assemblée Nationale, qui reconnait aux animaux "la qualité d'êtres vivants doués de sensibilité". Le destin des animaux de boucherie restera dans tous les cas dramatique. Espérons, que suite à cet amendement, leur "détention" sera moins pénible. Dans tous les cas, il vaut mieux ne pas être né bœuf, mouton, volaille et compagnie.
En ce qui me concerne, malgré tout cela, je reste, comme beaucoup d'entre vous, consommateur de viande. La chaîne alimentaire est ainsi faite.