La vérité sur… la stratégie de harcèlement qui a miné France Telecom
C’est le titre de l’article de Challenges qui écrit en sous-titre : « Après quatre ans d’enquête judiciaire sur les méthodes managériales de l’ancienne direction, les documents saisis sont accablants. »
Challenges écrit que d’après M. Lombard il s’agit d’une originalité comptable.
Bien sûr, car nous n’étions devenus que des numéros,des chiffres en bas d’un tableau d’objectifs, ce que confirme Challenges quelques lignes plus loin, en révélant également l’existence de documents internes saisis, des lettres d’orientation qui « fixent aux managers des objectifs de baisse du nombre de CDI »
Ce journal cite ensuite « Les cadres motivés financièrement » : « Les résultats de ces objectifs de déflation d’effectifs faisaient l’objet de remontées systématiques à l’équipe dirigeante, notamment à Olivier Barberot ».
Tous les cadres ont vu et ont eu en mains ces tableaux de suivi lors des CODIR (Comité de Direction), des CODAG (Comité d’agence) et bien d’autres.
Des mission dévalorisantes : Des cadres auditionnés déplorent des incitations répétées au départ lors des entretiens mensuels ou par des courriels hebdomadaires proposant des postes en collectivités locales
Nous avons toutes et tous, du cadre le plus haut au plus bas, reçu ces tableaux de promotions de postes disponibles à l’extérieur, dans le but d’inciter au départ, de promotionner les postes via le ciblage de personnes pour certains postes.
Tout ceci n’est que la partie visible de l’iceberg.
Nos avons vécu bien plus que cela, et nous le prouverons au procès.
Challenges cite ensuite : « une forme de harcèlement moral quasi institutionnel à l’encontre de 39 salariés, dont 19 se sont suicidés »
39 salariés dont 19 ce sont suicidès ? peut être ne sagit-il que des personnes dont le juge Gand a en charge dossier car il y a eu, et tout le monde le sait, beaucoup plus de suicides et de gens malades. Un chiffre de 3000 malades aurait même circulé.